Non, ce jeu m’est étranger. Je reste trop attaché au travail de l’auteur. Si je dois parler d’un livre, je préfère évoquer la résonance et l’empreinte qu’il a laissées en moi, plutôt que celles rapportées par d’autres.
Ce que Bayard nous dit, c'est que déjà, cette "résonnance", cette "empreinte" est autre que le texte lu. Elles sont les souvenirs de ce texte et seront différentes pour chacun de nous, ce qui ne les rend ni vraies ni fausses. Pourquoi un lecteur retiendra un tel passage et qu'un autre sera ému par la page qui suit? C'est ça le mystère que tentent d'élucider les théories de la lecture et de la réception, un champ de recherche immense et parfois aride.
Non, ce jeu m’est étranger. Je reste trop attaché au travail de l’auteur. Si je dois parler d’un livre, je préfère évoquer la résonance et l’empreinte qu’il a laissées en moi, plutôt que celles rapportées par d’autres.
Ce que Bayard nous dit, c'est que déjà, cette "résonnance", cette "empreinte" est autre que le texte lu. Elles sont les souvenirs de ce texte et seront différentes pour chacun de nous, ce qui ne les rend ni vraies ni fausses. Pourquoi un lecteur retiendra un tel passage et qu'un autre sera ému par la page qui suit? C'est ça le mystère que tentent d'élucider les théories de la lecture et de la réception, un champ de recherche immense et parfois aride.
Juste pour briller en société je dirai que j’ai lu tout « Johanne avec un T » meme si c’est pas vrai 😉🤣
Ah mais c’est un mensonge très flatteur ahaha!!