🙃 c’est bien la première fois que je touche du bout du bout du doigt l’inspiration ! 🤭 cela dit quelques précisions…
Je ne critique pas, jamais. Je suis meme très admiratif. Et je comprend parfaitement l’idée de s’élever et de trouver du réconfort dans l’apprentissage.
Je l’ai vécu toute ma vie, mais… pas avec ni grâce aux choses académiques. Et je trouve ça top ! Le bac, non je ne l’ai pas en poche. J’ai toujours mal vécu l’autorité “bornée” et me suis affronté à toutes les caricatures de l’éducation. C’est en ça que je trouve que “le bac c’est le mal”. Un examen qui devait prouver mon allégeance à une pensée tracée.
C’est un peu fort comme image mais j’étais un révolté 😋
On m’a donc forcé à le tenter (2 fois !) et 2 fois je m’en suis sorti avec déshonneur. Je l’ai payé cher avec des années de galères.
Mais contrairement à vous, je n’arrive toujours pas à y trouver de bonnes choses. C’était il y a plus de 40 ans (a peine plus 🤭) et quand je regarde mon chemin, je me dis que je n’avais vraiment pas besoin de cet examen tortueux.
Alors effectivement pour moi tout ça est un souvenir douloureux. Mais je vais aller dans votre sens… j’ai relu l’étranger de Camus il y a qq temps parce que je me suis dis que ce n’était pas possible d’avoir détester alors que tout le monde avait adoré.
Et j’ai adoré 🤓
Preuve que le mal peut faire du bien de temps en temps 🤣
Je conçois très bien ce raisonnement... Vous n'êtes pas seul, plusieurs ne se trouvent aucun atome crochu avec les enseignements académiques. Mon fils se débat aussi avec ce refus d'autorité qui ne répond que "parce que" à toutes questions, mais ce n'est pas ce que je vis. Mais peut-être comparons nous des incomparables? Le bac ici et le bac là-bas sont-ils semblables? Je ne sais pas, faudra que je demande aux étudiants venus de France, ils sont nombreux, je devrais trouver une réponse à ça.
Il y a bien sûr, des enseignements aux passages obligés, je pense au droit, à la médecine, aux sciences... et même tout le coté statistique, mesurable de la psychologie, sociologie...on n'y coupe pas. Donc, oui, ceux qui s'y dirigent par besoin d'acquis menant à des titres précis doivent se coltiner avec des sujets pas toujours glamour... et même en Études littéraires, je pense à la littérature comparée et les idées de Bourdieu... c'est un peu aride tout ça.
Pour ma part, je suis enchantée de ce monde que je découvre, apprendre à lire, sur les lignes, entre les lignes, au delà de la page m'apparait comme une aventure merveilleuse!
Mon plus beau souvenir du bac, c'est la promesse de septembre.
Des cahiers neufs, les plans de cours prometteurs. L'impression que cette fois, on va tout donner!
🙃 c’est bien la première fois que je touche du bout du bout du doigt l’inspiration ! 🤭 cela dit quelques précisions…
Je ne critique pas, jamais. Je suis meme très admiratif. Et je comprend parfaitement l’idée de s’élever et de trouver du réconfort dans l’apprentissage.
Je l’ai vécu toute ma vie, mais… pas avec ni grâce aux choses académiques. Et je trouve ça top ! Le bac, non je ne l’ai pas en poche. J’ai toujours mal vécu l’autorité “bornée” et me suis affronté à toutes les caricatures de l’éducation. C’est en ça que je trouve que “le bac c’est le mal”. Un examen qui devait prouver mon allégeance à une pensée tracée.
C’est un peu fort comme image mais j’étais un révolté 😋
On m’a donc forcé à le tenter (2 fois !) et 2 fois je m’en suis sorti avec déshonneur. Je l’ai payé cher avec des années de galères.
Mais contrairement à vous, je n’arrive toujours pas à y trouver de bonnes choses. C’était il y a plus de 40 ans (a peine plus 🤭) et quand je regarde mon chemin, je me dis que je n’avais vraiment pas besoin de cet examen tortueux.
Alors effectivement pour moi tout ça est un souvenir douloureux. Mais je vais aller dans votre sens… j’ai relu l’étranger de Camus il y a qq temps parce que je me suis dis que ce n’était pas possible d’avoir détester alors que tout le monde avait adoré.
Et j’ai adoré 🤓
Preuve que le mal peut faire du bien de temps en temps 🤣
Je conçois très bien ce raisonnement... Vous n'êtes pas seul, plusieurs ne se trouvent aucun atome crochu avec les enseignements académiques. Mon fils se débat aussi avec ce refus d'autorité qui ne répond que "parce que" à toutes questions, mais ce n'est pas ce que je vis. Mais peut-être comparons nous des incomparables? Le bac ici et le bac là-bas sont-ils semblables? Je ne sais pas, faudra que je demande aux étudiants venus de France, ils sont nombreux, je devrais trouver une réponse à ça.
Il y a bien sûr, des enseignements aux passages obligés, je pense au droit, à la médecine, aux sciences... et même tout le coté statistique, mesurable de la psychologie, sociologie...on n'y coupe pas. Donc, oui, ceux qui s'y dirigent par besoin d'acquis menant à des titres précis doivent se coltiner avec des sujets pas toujours glamour... et même en Études littéraires, je pense à la littérature comparée et les idées de Bourdieu... c'est un peu aride tout ça.
Pour ma part, je suis enchantée de ce monde que je découvre, apprendre à lire, sur les lignes, entre les lignes, au delà de la page m'apparait comme une aventure merveilleuse!
Un exemple de mes émois se trouve immortalisé ici https://open.substack.com/pub/tcommetanguay/p/il-y-des-choses-qui-me-bouleversent?r=9iq2k&utm_medium=ios