Bon c’est probablement la 3è fois que je lis ton texte, il est limpide, ne te fais pas de soucis, mais je voulais faire la différence entre ce Pynchon et le Machette à propos duquel tu as aussi écrit. Alors oui j’ai complété ma lecture avec Wikipedia et tout devient lumineux. Je ferai le même exercice avec Manchette. Jusqu’à ce jour les romans policiers ne me disaient rien, mais je vais intégrer Pynchon dans mes listes de lectures et si possible dans mon cours sur la littérature américaine.
Pynchon n’est pas un auteur facile, mais lire Inherent Vice, c’est comme se laisser emporter dans un courant imprévisible. Chaque page ouvre une porte inattendue, une trouvaille, une secousse. On croit que tout s’éparpille, et pourtant un fil discret relie les morceaux, comme une trame souterraine. Ce qui m’a frappée, en le lisant en parallèle avec Manchette, c’est de voir à quel point chaque texte, quel qu’il soit, est traversé par l’air de son époque. Même les récits dits « populaires » portent une vision du monde qui en dit long et c’est ce qui les rend si précieux à explorer.
Bon c’est probablement la 3è fois que je lis ton texte, il est limpide, ne te fais pas de soucis, mais je voulais faire la différence entre ce Pynchon et le Machette à propos duquel tu as aussi écrit. Alors oui j’ai complété ma lecture avec Wikipedia et tout devient lumineux. Je ferai le même exercice avec Manchette. Jusqu’à ce jour les romans policiers ne me disaient rien, mais je vais intégrer Pynchon dans mes listes de lectures et si possible dans mon cours sur la littérature américaine.
Pynchon n’est pas un auteur facile, mais lire Inherent Vice, c’est comme se laisser emporter dans un courant imprévisible. Chaque page ouvre une porte inattendue, une trouvaille, une secousse. On croit que tout s’éparpille, et pourtant un fil discret relie les morceaux, comme une trame souterraine. Ce qui m’a frappée, en le lisant en parallèle avec Manchette, c’est de voir à quel point chaque texte, quel qu’il soit, est traversé par l’air de son époque. Même les récits dits « populaires » portent une vision du monde qui en dit long et c’est ce qui les rend si précieux à explorer.