Je reviens du MBAM, et wow, Alan Glass m’a renversé. Je ne m’attendais pas à tout ça, son chaos organisé, sa méticulosité, sa vision d’une forme spirituelle qui puise dans le désir et la nature; le tout qui se complète avec son matérialisme et son soucis de rendre les objets vivants dans des compositions complexes. Je sais pas si vous avez remarqué sa reprise de la toile de Caspar David Friedrich, celle-là même que j’ai postée pour mon avant-goût de lecture du roman de Shelley. Je me suis dit que « toute est dans toute » parce que je me rappelais ce post-ci.
Et je partage à peu près les mêmes avis pour l’expo de Weill, un peu simple et dirigé, mais c’est une période que je connais peu encore. J’ai surtout aimé découvrir la peintre française Émilie Charmy. D’ailleurs son nom n’apparaît même pas sur le site du MBAM, même si elle a quelques œuvres dans l’expo!
Merci (et bravo) pour ce post, je le relis avec la belle nostalgie de ma journée!
Mais quelle coïncidence, quand même... je n'ai pas particulièrement remarqué ce tableau, il y a tant et tant à voir dans cette expo... et maintenant que tu le soulignes, je suis d'autant plus étonnée, éblouie par cet artiste hors du commun! Sur le site web de Glass (alan-glass.com), dans la section Biographie, je lis qu'il a créé plusieurs oeuvres à partir de celles de Friedrich... je serais curieuse de les voir! Je lis aussi qu'il était ami avec Jodorowsky, un autre artiste qui m'interpelle depuis très longtemps... je ne suis plus du tout surprise de mon intérêt pour cette oeuvre si imaginative et éclatée, flirtant avec l'ésotérisme et portant un regard désilusionné sur le monde!
Pour ce qui est de Charmy, je ne la connaissait pas non plus. Elle a une facture unique, avec ces portraits de femmes aux visages indéfinis.
Je te remercie pour ton retour, ça me fait plaisir de lire que mon point de vue est partagé!
Je reviens du MBAM, et wow, Alan Glass m’a renversé. Je ne m’attendais pas à tout ça, son chaos organisé, sa méticulosité, sa vision d’une forme spirituelle qui puise dans le désir et la nature; le tout qui se complète avec son matérialisme et son soucis de rendre les objets vivants dans des compositions complexes. Je sais pas si vous avez remarqué sa reprise de la toile de Caspar David Friedrich, celle-là même que j’ai postée pour mon avant-goût de lecture du roman de Shelley. Je me suis dit que « toute est dans toute » parce que je me rappelais ce post-ci.
Et je partage à peu près les mêmes avis pour l’expo de Weill, un peu simple et dirigé, mais c’est une période que je connais peu encore. J’ai surtout aimé découvrir la peintre française Émilie Charmy. D’ailleurs son nom n’apparaît même pas sur le site du MBAM, même si elle a quelques œuvres dans l’expo!
Merci (et bravo) pour ce post, je le relis avec la belle nostalgie de ma journée!
Mais quelle coïncidence, quand même... je n'ai pas particulièrement remarqué ce tableau, il y a tant et tant à voir dans cette expo... et maintenant que tu le soulignes, je suis d'autant plus étonnée, éblouie par cet artiste hors du commun! Sur le site web de Glass (alan-glass.com), dans la section Biographie, je lis qu'il a créé plusieurs oeuvres à partir de celles de Friedrich... je serais curieuse de les voir! Je lis aussi qu'il était ami avec Jodorowsky, un autre artiste qui m'interpelle depuis très longtemps... je ne suis plus du tout surprise de mon intérêt pour cette oeuvre si imaginative et éclatée, flirtant avec l'ésotérisme et portant un regard désilusionné sur le monde!
Pour ce qui est de Charmy, je ne la connaissait pas non plus. Elle a une facture unique, avec ces portraits de femmes aux visages indéfinis.
Je te remercie pour ton retour, ça me fait plaisir de lire que mon point de vue est partagé!