Je manque de temps… déjà

C’est un vrai scandale!

Première semaine de cours et je suis déjà à la traîne! Pas le temps de lire mes Substack préférés, pas le temps de commenter, encore moins d’écrire!

Et ça, même en m’évitant trois heures de transport en commun grâce à une astuce bien rodée : aller dormir chez ma môman, qui habite à dix minutes de l’UQAM, le soir du premier cours, histoire d’être déjà sur place pour le deuxième le lendemain matin.

C’est ça, quand on choisit de vivre aux confins de la ville, au bord du fleuve, tout près d’un pont lointain… Faque pensez-y avant de vous exiler là où la nature s’éclate : il y a un prix à ce bonheur sauvage et ça peut être de faire du couch surfing chez sa mère deux jours de suite pour survivre à la logistique.

Mais bon, mes deux cours semblent fascinants, je vais certainement en reparler au fil du semestre — stay tuned!

Ah, et j’ai eu une preuve irréfutable que mes craintes paranoïaques quant à l’existence réelle de mes interlocuteurs virtuels n’avaient pas lieu d’être! (Oui, parfois je me raconte que ceux qui commentent ici ne sont pas de vraies personnes mais des bots programmés pour me garder active sur la plateforme… je sais, un peu intense, mais avouez que c’est plausible!)

Sauf que voilà : un autre auteur Substack est aussi étudiant, et il suit exactement les deux mêmes cours que moi! Donc Guillaume existe bel et bien. Assez le fun, non? J’en conclus que vous êtes tous du vrai monde — et qu’un jour, qui sait, on pourrait bien se retrouver au même party!

Et c’est avec cette certitude que tout est (à peu près) en ordre dans ce bas monde que je vais ce soir dormir dans mon propre lit. Yeah!

Nite nite!